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Parlement d'Ariège

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   Lundi 14/3 à 15h au Bourdieu 

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Comptes-rendus

Depuis des siècles, deux manières différentes de décrire le monde prétendent chacune avoir l’exclusivité de la vision juste et véritable de

« ce qui est ».


 La Science Moderne – depuis Newton et Descartes – affirme que « ce qui est » est limité strictement à ce qui est observable, mesurable et quantifiable avec nos 5 sens. 
Elle affirme que les événements dans le futur sont la stricte extrapolation du passé et du présent, en utilisant des fonctions mathématiques totalement déterministes et parfois des fonctions de probabilité : le résultat n’est alors pas totalement déterminé, mais aucune cause n’est à l’origine du résultat observé, l’effet sans cause ! 
La conscience dont chacun fait l’expérience serait l’émergence de la complexité du cerveau ; notre mémoire, comme dans un ordinateur serait stockée dans notre cerveau.

 Les religions quant à elles affirment qu’il existe un au-delà à ce que nous pouvons observer avec nos 5 sens et que cet au-delà est plus important que le monde visible. 


Les lois de cet au-delà ont été révélées aux humains par certains êtres inspirés, puis leurs adeptes ont structuré une organisation pour figer ces vérités révélées et pour définir comment seront reconnus ceux qui parleront par la suite au nom de cet être invisible et sacré.
À l’évidence ces deux visions du monde sont incompatibles entre elles.


 La bonne nouvelle est qu’une Science Unifiée est en train de naître, une nouvelle vision du monde.  

 

Elle permet de voir la complémentarité de ces deux approches et la prééminence de la vision spirituelle.

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 Elle est basée bien sûr d’abord sur l’ensemble des connaissances accumulées depuis des siècles concernant l’espace, la matière et les forces qui l’animent. Elle reconnaît aussi maintenant l’existence avérée de phénomènes totalement inexplicables par la science moderne, qui impliquent que de « l’information » venant de hors de l’espace et du temps agit sur des phénomènes observables de manière décisive. L’évolution du monde est fondamentalement imprévisible. 

Ipsum Feugiat

Semper suscipit posuere apede

 La science unifiée découvre qu’elle ne peut pas avoir accès à des certitudes et qu’elle doit aller au-delà de certains de ses postulats, de ses dogmes :


 o  La reproductibilité comme critère de vérité
 o  Le postulat que tout ce qui n'est pas reproductible, bien

     qu'observable, n'a aucune validité scientifique
 o  Beaucoup trop de phénomènes sont modélisés en utilisant les lois du

     hasard, l'effet sans cause


 Mais cette nouvelle science s’enrichit des connaissances spirituelles apportées par :


 o  Les sagesses du monde 
 o  L’exemple des peuples premiers vivant en communion avec la nature
 o  Certains textes inspirés

 

Les pages suivantes sont extraites d’un document téléchargeable plus complet dont voici le sommaire correspondant à la partie traitée ici :

Reperes-Nouveau-Monde-V07
5 Mo
Reperes-Nouveau-Monde-V07.pdf