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Grâce à l'accumulation toujours plus importante « d'expériences de laboratoire », s'élabore progressivement une modélisation des phénomènes observés et quand la « communauté scientifique » confirme par réplication de l'expérience, l'enrichissement du modèle, celui-ci devient une « vérité scientifique ». Et le modèle est perçu comme « ce qui est » et non plus comme sa représentation, comme l'illustre si bien le célèbre tableau de René Magritte : « ceci n'est pas une pipe ».
La physique moderne, celle qu'on enseigne dans les universités, ne fait aucune place à la conscience, cette faculté pourtant si évidente que chacun expérimente. Rien n'existe en dehors de l'espace et du temps.
Cette physique a aussi une autre faiblesse, elle est bancale, elle marche sur 2 jambes incompatibles entre elles. La relativité générale décrit le comportement de la matière depuis l'échelle microscopique jusqu'à l'échelle cosmologique ; la physique quantique rend compte du comportement des particules infiniment petites et leur trouve un comportement complètement farfelu. Cherchez l'erreur !
o La reproductibilité comme unique critère de vérité.
o Le postulat que tout ce qui n'est pas reproductible, bien
qu'observable, n'a aucune validité scientifique.
o Beaucoup de phénomènes sont modélisés en utilisant les
lois du hasard,.
o Quand on observe une régularité dans la répétition un
grand nombre de fois de la même expérience ; on établit
une corrélation entre deux éléments et on décide que l'un
est la cause de l'autre, en oubliant qu'il peut y avoir une
cause commune produisant les deux résultats.
Depuis plus d'un siècle on en connaît les équations. Elles conduisent à prédire, à l'échelle des atomes, les comportements de la « matière », mais alors ils défient le sens commun.
Et cependant toutes les expériences qui ont tenté de prendre en défaut ces prévisions ont toutes échouées. Alors il serait peut-être temps de remettre en cause nos postulats sur ce que nous croyons être la matière, le hasard, le déterminisme etc. .
À l'échelle humaine, du millimètre jusqu'à 1 000 km, et à des vitesses de déplacement inférieures à 1 000 km/h, elle rend parfaitement compte de notre expérience sensible. Mais elle recèle toutefois des comportements invraisemblables de la matière :
o vitesse de la lumière indépassable,
o vitesse de déplacement augmentant la masse d'un objet
et ralentissant la vitesse d'écoulement de son temps propre,
o équivalence de la masse et de l'énergie !
C’est uniquement quand une particule interagit avec une autre particule qu’elle devient visible et on sait alors prévoir, non pas où elle se trouvera, mais les seuls endroits où elle peut apparaître, avec pour chaque endroit la probabilité que ce sera celui-là qui sera choisi.
Choisi par qui ? Par la particule elle-même !
La particule est donc dotée d'une certaine capacité de choix.
Quand deux particules ont interféré puis se sont éloignées l'une de l'autre, et s'il arrive quelque chose à l'une, l'autre le sait instantanément, quelle que soit son éloignement, c'est à dire plus vite qu'à la vitesse de la lumière. Ce phénomène appelé intrication fait donc appel à un mécanisme situé hors de l'espace et du temps : dans le domaine psychique de l'information.
Au sens où nous l'entendons, la matière n’existe pas.
Seules existent des ondes électromagnétiques d'espace. Ce tissus sous-jacent rempli d'une énergie quasi infinie, n'est pas un fluide continu, il est divisé et quantifié en unités discrètes (comme de minuscules micro-bulles de savon). Il relie toutes les échelles dimensionnelles, depuis le plus petit granule d'espace pouvant exister, jusqu'à l'Univers entier.
Nous sommes des vibrations d'espace vide, ou d'éther... À méditer.
À l'échelle quantique les équations de la physique prédisent qu'il existe dans l'espace vide une quantité quasi infinie d'énergie. De quoi s’agit-il ?
La matière n’existe pas. Ce qui constitue notre univers est un empilement d'atomes eux-mêmes constitués d'un noyau autour duquel gravitent très très loin des électrons. Si le noyau d’un atome était un ballon de foot, l’atome aurait un diamètre de 4 km ! Entre le noyau et l'orbite des électrons : le vide : 99,999 999 999 999 6% d'espace vide ! Et encore bien davantage de vide entre les atomes.
Tout tourne dans l'univers
À toutes les échelles, tous les objets de l'univers tournent. Pourquoi ? Parce qu'ils sont portés par un substrat, l'éther, qui lui-même, à une échelle infiniment petite, est en rotation et porteur d'une énergie quasi infinie.
Convertie en grammes par E=mc2, la densité d'énergie à l'intérieur d'un proton (le constituant du noyau des atomes) est de 10 élevé à la puissance 55 grammes, soit 1 suivi de 55 zéros !
C’est exactement la masse mesurée de l’univers entier.
Cela signifie que cette mystérieuse énergie du vide est de l’information, invisible à nos yeux, comme le sont les ondes qui nous permettent de transmettre des informations entre deux téléphones portables
Chaque proton de l'univers, est un hologramme de l'univers entier : c'est comme un DVD qui contiendrait l'image dynamique en trois dimensions et avec le son, d'un orchestre en train de jouer. L'orchestre n'est pas dans le DVD, mais toutes les informations qui le caractérisent y sont.
De notre place d'observateur de l'Univers dans lequel nous sommes immergés, voilà ce que nous pouvons en dire de plus rationnel :
o L'Univers est un être vivant, à toutes ses échelles, cela sera précisé au module suivant.
o Il est essentiellement constitué d'éther, que nous observons comme étant de l'espace vide.
o Cet éther est bouillonnant d'une énergie électromagnétique immense que nous ne percevons pas, mais qui est
potentiellement à notre disposition.
o L'éther s'est condensé dans certaines régions de l'espace en formant des ondes stationnaires que nous appelons
des « particules élémentaire ».
o Ces particules se sont assemblées en formant des empilements fractals de plus en plus complexes : atomes,
macromolécules, cellules vivantes, individus observables, systèmes solaires, galaxies, univers entier.
o À chaque niveau d'empilement, et ce depuis la particule élémentaire, se sont formés des « individus » distinguables
et autonomes, chacun étant associé à une partie invisible de nature psychique, informationnelle.
o Chacun de ces individus est un émetteur-récepteur de toute l'information contenue dans l'univers entier, passé,
présent et futur. Cette information est actualisée continuellement.
Voila de quoi faire rêver !
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